En décembre 1925, le journaliste du « Réveil de Plessis-Trévise » nous décrit de façon romantique et imagée une certaine époque, dans un article qu’il intitule « Propos de saison ».
A presque un siècle de distance, le récit pourrait aisément s’insérer dans notre vie d’aujourd’hui, aux détails vestimentaires près, aux reproches permanents sur l’état des avenues qui n’est plus qu’un mauvais souvenir et à une certaine ambiance qui fleure bon l’encaustique, le feu de bois, le silence des avenues et le ravaudage des vêtements. Tout un ensemble devenu désormais suranné.