Balade historique en plein air - Edition 2021 

 

 

La Société Historique vous propose une nouvelle balade historique dans les avenues du Plessis-Trévise.

Partez à la rencontre de 30 photographies prises in situ au début des années 1900.

 

Retrouvez dans cette page toutes les informations pratiques.

 

En complément : 

Un supplément détachable de 4 pages sera inséré dans le Plessis-Mag de Juin. Il comprend l'affiche, un plan d'exposition et de courtes légendes pour l'ensemble des photographies exposées. 

 

Une version plus complète de 8 pages vous est proposée en téléchargement ci-dessous. Outre l'affiche officielle, le plan d'exposition, une légende plus détaillée accompagne chacune des photographies exposées.

 

A emportez avec vous lors de votre sortie....

 

 

Balade historique en plein air 2021 - Brochure exposition
Cette brochure restitue les emplacements des photographies exposées dans la ville et pour chacune apporte des explications historiques.
Brochure Balade Plein Air SHPT-2021.pdf
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Parc du château des Tourelles

La famille Foureau qui figure sur ces photos fut propriétaire des Tourelles de 1892 à 1909. Alexandre Foureau, le père,  fut  un militant très actif pour l'indépendance de la commune. Georges, le benjamin poursuivra en quelque sorte la mission de son père en devenant maire du Plessis-Trévise de 1925 à 1941.
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Grille du château de La Lande – (av. J.C. Delubac)

Cette grille est le seul vestige du château de La Lande qui était situé à quelques mètres derrière elle. Les initiales « AC » entrelacées à son sommet sont celles d’Adelinda Concha, sa dernière habitante. Le château a été démoli en 1943 afin de lotir les lieux. 
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Ile Caroline - Août 1906.

Ce lieu se situait à l’extrémité du parc du château de La Lande jusqu’au milieu du 19e siècle. Caroline, fille aînée du duc de Trévise, y a laissé l’empreinte de son nom. Durant toute la première moitié du 20e siècle, cet endroit deviendra un charmant lieu de loisirs champêtres. 
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Fabrique de Faux-cols - av. Ardouin - Mai 1904

Peu après la guerre de 1870, une manufacture de faux-cols et manchettes s’installe. Elle sera en activité jusqu’aux années 1910. En 1899, celle-ci employait environ 50 personnes, soit une grande partie de la population active du village. Des familles entières y travaillaient. 
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Enfants  Avenue Ardouin – Octobre 1920

Il est possible, à cette époque, d’apercevoir à l’horizon le Château de La Lande au Val Roger. A droite, la Manufacture de faux-cols et manchettes a été remplacée par l’usine de tissage Belin. Un adolescent porte un calot, réminiscence sans doute de la Grande Guerre.
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Place des Fêtes (Place du Marché) - Novembre 1902 - Mai 1906

A la fin du 19e siècle, Alexis Quirin, propriétaire de la manufacture de faux-cols toute proche fait don de cette place à la commune. Bien vite, elle devient un lieu de convivialité. Marchands ambulants, colporteurs préfigurent l’implantation du marché. La première salle des fêtes y sera construite en 1904. 
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Les gymnastes - Place des Fêtes - Juillet 1910

Au début de 20e siècle, les Sociétés de gymnastique et d’éducation physique sont très en vogue. Les valeureux gymnastes de l’association locale « La Vaillante » font de nombreuses démonstrations pour le plus grand plaisir des villageois. 
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La Poste - Avenue de Champigny - Avril 1920

En 1912, un Bureau des Postes, Télégraphes et Téléphones est édifié avenue de Champigny (actuelle av. Gal Leclerc). Il assurera ses fonctions jusqu’à l’ouverture, en 1972, du bureau actuel, avenue Ardouin. 
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Mairie - 18 juin 1949

A l’origine, cet édifice était une villa bourgeoise, construite en 1866. En 1923, la municipalité décide d’acquérir cette propriété afin d’y établir la Mairie. En 1982, la bâtisse prendra son aspect actuel par l’adjonction de deux ailes latérales. 
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Commerces - Avenue Ardouin - Juin 1910

Au début du 20e siècle, l’avenue Ardouin est fort paisible. Les seuls commerces qui y sont implantés sont le boulanger, le grainetier et le café-restaurant Fleury. Chacun peut s’installer sur le trottoir faisant office de terrasse et trinquer en toute liberté.
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Avenue Thérèse - Octobre 1920

A cette époque, peu d’habitations dans cette petite avenue caillouteuse. Deux commerces s’y sont installés : une charcuterie et Mme Louise Mary qui vient de reprendre la mercerie-confections. Les enfants de l’école voisine, semblent venus lui dire un petit bonjour en passant.
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Maison Muller (av. du Gal De Gaulle) - Octobre 1917

Les taillis aux alentours montrent un paysage encore très rural.  Le café était alors un lieu de communication et d’échange. On aimait venir y discuter, échanger les nouvelles du pays, jouer aux cartes ou aux dominos autour d’un verre d’absinthe. 
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Carrefour Av. Thérèse – Gonzalve (av. du Gal De Gaulle) - Mars 1909

Elia et Michel Petit viennent d’ouvrir la charcuterie « A la Maltournée ». Il semble que l’endroit était plutôt bien choisi car plus d’une centaine d’années plus tard, la même activité s’est perpétuée, au même emplacement. 
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Omnibus - Avenue Gonzalve (av. du Gal De Gaulle) - Avril 1908

Au début du 20e siècle, un omnibus hippomobile dit « La Patache » assure la liaison entre l’actuelle place de Verdun et la gare de Villiers. Bien évidemment, l’arrêt devant la mairie et l’école est incontournable. Les écoliers se sont rangés sagement pour lui faire place.
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École – Mairie – Poste (av. du Gal De Gaulle) - Juin 1909

En 1890, les habitants du hameau obtiennent la construction d’une école publique. En 1899, lors de la création de la commune, la mairie s’installera au sein du bâtiment. En 1902, une nouvelle école est inaugurée. L’année suivante, un bureau de Poste viendra compléter l’ensemble, lui donnant son aspect actuel. 
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École des garçons (av. du Gal De Gaulle) - Octobre 1904

A cette époque, la mixité n’est pas à l’ordre du jour. L’école des garçons était en façade et celle des filles se trouvait dans un bâtiment adjacent. Ce sera la seule école de la commune jusqu’en 1956. Elle prendra, alors, l’appellation d’École du Centre.
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L’église - Novembre 1908

En 1881, une petite chapelle en pierres meulières est construite. Elle sera, avec l’école publique, la pièce maîtresse de l’indépendance du hameau de Plessis-Trévise. En 1931, l’église sera agrandie de deux ailes. En 1971, une restructuration totale extérieure et intérieure lui donnera son aspect actuel. 
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La procession - 14 juin 1906

 En ce jour de la Fête-Dieu, le traditionnel cortège religieux parcourt les avenues du village. Les fidèles sont rassemblés à la sortie de l’Église, le long de l’avenue Ardouin, dans un environnement champêtre. 
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Carrefour av. Ardouin - St-Pierre - Octobre 1908

A cette époque, de grandes résidences, entourées de vastes parcs, bordent l’avenue Ardouin. Le parc de cette propriété sera grignoté au fil du temps, particulièrement, pour l’agrandissement de l’École du Centre puis pour la construction du Bureau de Poste. 
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Avenue Gonzalve (av. du Gal de Gaulle) - Octobre 1917

Cette avenue est restée jusqu'aux années 1920, une des plus longues voies de la commune. Partant de la Place des Fêtes, traversant l’actuelle Place de Verdun, elle allait rejoindre la lisière du Bois-Lacroix. Ces enfants ont, sans doute, bien du chemin à parcourir pour se rendre à l’École ! 
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Pont sur le Grand Canal - Parc Saint-Pierre - Juillet 1908

Le Grand Canal s’étirait de l’Ile Caroline jusqu’à l’actuel Parc Mansart. Destiné initialement à drainer les terres, il fut diversement exploité par l’Institut hydrothérapique du Dr Fleury, la Manufacture de faux-cols, les lavandières, avant d’être le rendez-vous des pêcheurs et des promeneurs. 

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Avenue de Liège (av. du Gal De Gaulle) - Octobre 1929

A la fin des années 1920, un service d’autocars remplace la diligence hippomobile. La construction de la Cité de la Joie en 1954 sera le déclencheur du développement de ce quartier. C’est à cette époque que sera ouverte, à l’angle boisé des avenues, la pharmacie toujours en activité à cet emplacement.
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Propriété Girard - Avenue Bertrand - 1892

C’est en 1861, qu’Émile Girard fera construire cette propriété au sein d’un immense parc. Ce lieu sera durant plus de 30 ans l’havre de paix de la famille. Divers autres propriétaires y laisseront leur empreinte, avant que la villa rénovée devienne, en 1985, l’École de Musique César Franck et que le Parc Mansart soit de nouveau un rendez-vous familial.
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La diligence – avenue Gonzalve (av. du Gal De Gaulle) – Mai 1907

« La Patache » en provenance de la Gare de Villiers arrive à son terminus Place de l’Église en empruntant l’avenue Gonzalve. Cette avenue rectiligne offrait alors une étonnante perspective permettant d’apercevoir la Place des Fêtes depuis cet endroit.
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Place de l’église – Place Gambetta (Place de Verdun) - Avril 1908 - Octobre 1920

Ne cherchez pas l’église sur cette place, elle n’a été qu’un projet non réalisé à cet endroit. Un café hôtel restaurant s’y installe dès 1866. Dénommée en 1916, Place Gambetta, elle restera durant des décennies, le terminus des moyens de transport avec la Gare de Villiers. Cette place fut de tout temps un lieu stratégique de manifestations historiques et amicales.
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